Jeffery Deaver
L'Archipel, 2007
461 pages
Résumé de l'éditeur :
Dans un bois de New Lebanon, bourgade de l'Illinois, gît le corps d'une étudiante, couchée sur un lit de boue et de racines de forsythias. Cette découverte sème le trouble sur le campus voisin, où sont mises au jour de bien étranges pratiques, et précipite l'inspecteur Bill Corde dans une affaire périlleuse. Et si ce meurtre, l'œuvre d'un serial killer surnommé par la presse le " Tueur à la lune ", n'était qu'un leurre destiné à atteindre le policier ? Le criminel semble vouloir transformer la vie de Corde en cauchemar. Et pour cela s'acharner sur ce qu'il a de plus cher. Frapper la chair de sa chair, le sang de son sang, celui d'une innocente...
Ce roman fait partie des premiers livres écrits par Jeffery Deaver, en 1993. Aimant beaucoup la série des Lincoln Rhymes, j’avais envie de lire ses premiers romans. J’ai été quelque peu déçue.
L'Archipel, 2007
461 pages
Résumé de l'éditeur :
Dans un bois de New Lebanon, bourgade de l'Illinois, gît le corps d'une étudiante, couchée sur un lit de boue et de racines de forsythias. Cette découverte sème le trouble sur le campus voisin, où sont mises au jour de bien étranges pratiques, et précipite l'inspecteur Bill Corde dans une affaire périlleuse. Et si ce meurtre, l'œuvre d'un serial killer surnommé par la presse le " Tueur à la lune ", n'était qu'un leurre destiné à atteindre le policier ? Le criminel semble vouloir transformer la vie de Corde en cauchemar. Et pour cela s'acharner sur ce qu'il a de plus cher. Frapper la chair de sa chair, le sang de son sang, celui d'une innocente...
Mon avis
Ce roman fait partie des premiers livres écrits par Jeffery Deaver, en 1993. Aimant beaucoup la série des Lincoln Rhymes, j’avais envie de lire ses premiers romans. J’ai été quelque peu déçue.
L’intrigue se dilue assez
rapidement. Les théories sont nombreuses, et j’ai eu tendance à m’y perdre un
peu. Le dernier quart est très bon, très prenant contrairement au reste qui est
plutôt poussif.
Assez vite j’ai eu une idée quant
à l’identité de l’assassin et l’auteur m’y confortait sans m’y contraindre
jusqu’à la fin où je me suis rendue compte que Jeffery Deaver nous avait
volontairement et doucement emmené vers un coupable qui s’avèrera ne pas en
être un. Très joli coup.
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